dimanche, décembre 31, 2006
dimanche, décembre 17, 2006
Seznec [j'ai pas ma vie...]
J’ai pas ma vie j’ai pas ma vie
Je ne sais même plus qui je suis
Une ombre rien qu’un numéro
Dans le ciel, libres, les oiseaux
J’ai pas ma vie j’ai pas ma vie
J’ai même plus de larmes dans les yeux
Je suis brûlé dedans dehors
Vidé de mon sang privé de mon corps
Moi je m’appelle Guillaume Seznec
Pour celle que j’aime et mes enfants
Je vous le dis tout simplement
Je jure que je suis innocent
Moi je m’appelle Guillaume Seznec
Pour celle que j’aime et mes enfants
Je vous le dis il faut me croire
Je jure que je suis innocent
Je suis foutu je suis battu
Je suis comme un chien dans la rue
Je suis déchiré de partout
J’ai l’impression de devenir fou
Albert Marie Guillaume et Jeanne
J’ai pas vu mes enfants grandir
Je n’ai rien fait pour que l’on me condamne
Parfois je préfèrerais mourir
refrain
A Saint-martin on est des chiens
Des va nu pieds des moins que rien
Le bagne c’est un bout d’enfer
La fin de l’homme et ma misère
J’ai pas ma vie j’ai pas ma vie
Je ne sais même plus qui je suis
Une ombre rien qu’un numéro
Dans le ciel, libres, les oiseaux…
Nouvelle version du 16 décembre 2006 (la première version datait de mai 1995)
Je ne sais même plus qui je suis
Une ombre rien qu’un numéro
Dans le ciel, libres, les oiseaux
J’ai pas ma vie j’ai pas ma vie
J’ai même plus de larmes dans les yeux
Je suis brûlé dedans dehors
Vidé de mon sang privé de mon corps
Moi je m’appelle Guillaume Seznec
Pour celle que j’aime et mes enfants
Je vous le dis tout simplement
Je jure que je suis innocent
Moi je m’appelle Guillaume Seznec
Pour celle que j’aime et mes enfants
Je vous le dis il faut me croire
Je jure que je suis innocent
Je suis foutu je suis battu
Je suis comme un chien dans la rue
Je suis déchiré de partout
J’ai l’impression de devenir fou
Albert Marie Guillaume et Jeanne
J’ai pas vu mes enfants grandir
Je n’ai rien fait pour que l’on me condamne
Parfois je préfèrerais mourir
refrain
A Saint-martin on est des chiens
Des va nu pieds des moins que rien
Le bagne c’est un bout d’enfer
La fin de l’homme et ma misère
J’ai pas ma vie j’ai pas ma vie
Je ne sais même plus qui je suis
Une ombre rien qu’un numéro
Dans le ciel, libres, les oiseaux…
Nouvelle version du 16 décembre 2006 (la première version datait de mai 1995)
Libellés : Poème[s]